jeudi 10 mars 2011

La marée, cet amour de rue
Qui nous faisait sombré dans le rêve
Nous montrant ton corps faible, abattu
Viens dans cet marée, viens et devient mon hanteur
Mon hanteur de pensé.

Et je te veux tout à moi 
Viens dans le bar de mes veines
Aspire, soule toi à mon sang
glisse glisse
Et voyage (..tendrement)
        
        En nos âmes perdues
        Etonné, noyé voir presque dénudé
        Nous partirons à l'aube 
(et)    Ta pensé sera mon voyageur effronté.

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